Gavroche et la pluie

 

 

Je vais vous raconter le week-end du 17 décembre. Mes maîtres ont décidé de me faire faire une grande ballade au bord de la Loire du côté de St Gemmes le samedi et du côté de Bouchemaine le dimanche.  Le samedi quand nous sommes partis, il faisait à peu près beau mais frais. L’herbe était mouillée et le chemin boueux, je courrais dans tous les sens dans l’herbe et dans la boue, j’étais heureux d’être en liberté, libre de tout mouvement. Mon maître me lançant ma petite balle et je courrais après et quand je l’attrapais, je lui ramenais pour qu’il recommence. Mais au bout d’une heure de ballade la pluie c’est mise à tomber très fine, ça ne me faisait rien je continuais à courir, renifler, manger des saloperies quand je pouvais. La pluie c’est mise à tomber plus forte et là, je n’étais pas content de recevoir des gouttes d’eau dans les yeux, sur le museau et sur le dos et je n’aime pas cela du tout. Alors comme nous étions sur le retour je n’ai pas mouillé longtemps. Ma maitresse m’a mis dans le coffre de la voiture pour m’essuyer le corps et les pattes c’était marrant.

 

Le dimanche rebelote promenade mais là, il y avait des flaques d’eau boueuses, de la boue partout, je vous dis pas dans quel état j’étais : tout noir «  beurk » !!

Quand il fallait passer ou il y avait une flaque d’eau, j’essayais de passer sur le coté, je marchais comme sur des œufs, sur la pointe des pattes et mes maitres rigolait de moi…Pff…Pff !!

Ils ne sont pas gentils car je n’aime pas du tout. La pluie est arrivée d’un seul coup et elle tombait très fort, mais mes maîtres ont continués la promenade. J’étais tout trempé et eux aussi mais mes maitres ont des manteaux avec des capuches, moi je n’ai rien d’autre que mes poils pour me protéger et rien d’autre. Je me ramassais, je marchais en levant les pattes et je faisais attention ou je posais les pattes pour ne pas les mettre dans l’eau, lorsque mes maîtres ont décidés de faire demi-tour pour rentré j’étais heureux, je me dépêchais de rentrer mais eux n’ont pas accélérer le pas, il à fallu que je les attendent, j’en avais marre. Quand nous sommes arrivés à la voiture, ma maîtresse m’a mis dans le coffre comme la veille et m’a essuyé . Elle a eu besoin de deux serviettes car par rapport au samedi j’étais vraiment sale.

Maintenant je peux vous affirmer que je déteste la pluie et les flaques d’eau et je ne veux plus sortir quand il pleut, mais là je crois que je rêve parce que mes maîtres ne me laisseront pas à la maison s’il pleut. Pff…Pff !!!

 



24/12/2011
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